A l’entrée de ma rue, une chapelle reste éclairée tout le nuit. Elle est juste assez grande pour héberger une statue de Marie et une jeune suppliante. Quelques fleurs au pied de Marie, quelques autres près de la Soubirou. La chapelle est repeinte de frais. Pas une tache de rouille ne ternit la porte vitrée et grillagée qui en interdit l’accès. Dans les fleurs, la photo d’un homme, encore jeune.
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